Asta, Jon Kalman Stefansson

« « Pour tromper le monde, je m’habille avec élégance chaque fois que je sors. J’allume mon sourire. Je maquille un peu ma tristesse puis je mets mes lunettes de soleil pour que personne ne remarque ton absence au fond de mes yeux. »

Reykjavík, début des années 50. Sigvaldi et Helga décident de nommer leur fille Ásta, d’après une grande héroïne de littérature islandaise. Un prénom signifiant – à une lettre près – amour et qui, croient-ils, ne peut que porter chance à leur fille…

Ce roman lyrique et charnel raconte l’urgence autant que la difficulté d’aimer, malgré notre quête inlassable du bonheur. »

 


J’ai mis du temps à finir ce livre mais j’y suis arrivée. Ce temps n’a pas été justifié par un manque d’intérêt mais juste par ma confusion. Cette histoire est très intéressante et nous emmène à la suite de plusieurs personnages mais principalement Asta. On y découvre sa vie du premier jour jusqu’à sa vieillesse.

Lorsque j’ai fini ce livre je dois reconnaitre qu’un certain nombre d’interrogation me sont restés en tête. Ces questions sont variées mais je ne les révèlerai pas ici pour ne pas gâcher le suspense.

La vie d’Asta n’a pas été facile et au travers de ses aventures, écrites de façon plus ou moins chronologiques dans notre livre, on y découvre son immense résilience et son immense intelligence. Elle fait partie de ces personnes que l’ont souhaite rencontrer dans notre vie et avec qui on peut être sûre d’avoir une conversation longue et intéressante, plaine d’anecdotes et de leçons de vie.

Je n’ai pas grande chose à dire sur ce livre car chacun peu l’interpréter et le vivre à sa façon. La seule difficulté que j’ai rencontrer lors de ma lecture à été la compréhension des mots islandais présents occasionnellement dans le livre mais ça peut donner envie de découvrir cette langue de nos voisins nordiques.

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