De Grandes espérances, Charles Dickens

 “Le nom de famille de mon père étant Pirrip, et mon nom de baptême Philip, ma langue enfantine ne put jamais former de ces deux mots rien de plus long et de plus explicite que Pip. C’est ainsi que je m’appelai moi-même Pip, et que tout le monde m’appela Pip. »

 


De Grandes espérances, de Charles Dickens adapté para Marie-Aude Murail a été ma dernière lecture en date. Je reconnais avoir acquis cette adaptation sans m’en rendre compte… pire encore, je me suis rendu comte que c’était une adaptation que lors de la lecture des dernières pages.

            Ce livre suis la vie de Pip, orphelin qui vit avec sa sœur et son beau-frère, Joe Gargery. On y suit ses diverses aventures au long d’environ 20 ans, pendant lesquels il va rencontrer un forçat échappé de prison, une vieille femme qui n’a pas sut vivre l’abandon de son fiancé le jour du mariage, une jeune orpheline adoptée par cette dernière, un avocat qui en sait beaucoup et ne dit rien, et bien d’autres personnages.

            J’ai commencé ce livre, et l’ai fini, parce qu’il fait partie de ces livres, dits, que l’on doit lire au moins une fois dans notre vie. Si ce n’était pas pour avoir le plaisir de dire que j’ai lu ce classique, je pense que je ne l’aurai pas fini. Ce livre m’a donné l’impression de ne pas avancer, de trop trainer dans l’histoire sans jamais rien développer de concret. De plus, lorsque l’intrigue commence à se dénouer, on retrouve quantité de connexions qui, plus elles sont développées, paraissent exagérés.

             Je pense que ce livre est une bonne lecture à avoir parce qu’il fait partie des classiques de la littératures (et est bien plus simple que d’autres classiques comme Guerre et Paix de Liev Tolstoï) mais, selon moi, ce n’est pas une lecture qui bouleverse une vie.

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